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Faits Divers

Il est difficile de déterminer à quelle fréquence les gens établissent un lien entre les horoscopes et les serial killers, mais une connexion intrigante existe entre ces deux univers. En effet, plusieurs signes astrologiques semblent être des dénominateurs communs parmi les auteurs de meurtres en série. Le signe du Lion figure parmi les plus prolifiques, selon le classement de Ranker.
Une récente étude menée par un astrologue réputé indique que presque tous les signes du zodiaque ont pu engendrer des tueurs en série, comme l’explique Wicked Local. Chaque signe possède ses caractéristiques propres, susceptibles d’éclairer les raisons poussant certains individus à commettre de tels crimes.
Parmi les 12 signes astrologiques, quatre dominent la liste des serial killers : le Cancer, les Poissons, le Scorpion et le Sagittaire. Quant au Lion, il se situe en neuvième position, selon une infographie publiée par Astrology Zodiac. De plus, ce signe se classe huitième en nombre de victimes liées à des assassins nés sous cette constellation.
Mais qui sont donc ces célèbres tueurs nés sous le signe du Lion, et comment se comparent-ils aux autres ? Cette question soulève une réflexion captivante sur l’interaction entre astrologie et psychologie criminelle, fournissant ainsi un éclairage unique sur les faits divers les plus sombres.
John George Haigh n’est peut-être pas un nom immédiatement familier, mais il occupe une place notable dans la culture populaire. Il a notamment été le personnage principal du téléfilm de 2002 A is for Acid, incarné par Martin Clunes, célèbre pour son rôle dans British Men Behaving Badly. En outre, Haigh figure dans la prestigieuse Chambre des Horreurs de Madame Tussauds à Londres.
Né le 24 juillet 1909 à Stamford, au Royaume-Uni, Haigh s’est distingué par une méthode macabre de dissimulation de ses meurtres : il dissolvait les corps de ses victimes dans l’acide, d’où son surnom « l’assassin au bain d’acide ». Heureusement, ses victimes étaient déjà mortes au moment de cette terrible opération. Selon plusieurs sources, il aurait également manifesté une fascination pour le vampirisme et aurait même prétendu avoir bu le sang de certains d’entre eux, une assertion probablement destinée à plaider la folie.
Issu d’une famille religieuse, Haigh fut rejeté après avoir été condamné pour fraude. Cependant, ses méfaits allaient bien au-delà d’une simple escroquerie. Sa tactique consistait à attirer des personnes aisées sous le prétexte d’inventer quelque chose, avant de les assassiner et de revendre ensuite leurs biens. Au moins six victimes furent tuées selon cette méthode avant que la police ne parvienne à le capturer. Ironie du sort, ce sont des prothèses dentaires intactes découvertes sur les lieux d’un crime qui ont permis de démasquer Haigh et révéler son terrible secret.
Condamné à mort, John George Haigh fut exécuté en 1949, laissant derrière lui une histoire aussi sombre que fascinante qui continue d’intriguer les passionnés de criminologie et d’astrologie, notamment ceux fascinés par les traits de caractère attribués aux serial killers nés sous le signe du Lion.
Cary Anthony Stayner

Cary Anthony Stayner n’était pas seulement un tueur en série, il était aussi l’aîné d’une famille marquée par un drame célèbre : son frère cadet, Steven Stayner, fut victime d’un enlèvement et d’abus durant plusieurs années. Ce dernier, propulsé malgré lui sous les projecteurs par l’industrie du divertissement, disparut tragiquement à l’âge de 24 ans dans un accident de la route, comme l’a relaté The Independent.
Né le 13 août 1961 à Merced, en Californie, Cary vivait dans l’ombre de son frère. Cependant, son destin prit une tournure bien plus sinistre. En 1999, alors qu’il travaillait au Cedar Lodge Motel, non loin du parc national de Yosemite, il assassina quatre femmes dans les environs, semant la terreur dans la région.
La révélation de ces crimes fut un choc immense pour la famille Stayner. Ashley, la fille de Steven, confia à quel point la découverte de l’implication de son oncle fut déstabilisante : « Quand on a appris que l’oncle Cary était impliqué, ça nous a tous bouleversés au point qu’on ne savait plus ce qu’on ressentait ni ce qu’on pensait ».
Condamné à la peine de mort en 2002, l’histoire de Cary Stayner ne s’est pas arrêtée là. En 2022, le Los Angeles Times rapporte qu’un escroc de Sacramento a usurpé son identité pour frauder des allocations chômage, ajoutant une dimension surprenante et macabre à son parcours.
Anthony Sowell

Né le 19 août 1959 à Cleveland, Ohio, Anthony Sowell est devenu l’un des criminels les plus tristement célèbres de sa ville natale. Ancien Marine et condamné pour viol, Sowell a vécu dans le quartier de Mount Pleasant, une zone longtemps marquée par une odeur nauséabonde persistante, autrefois attribuée à une usine de saucisses locale.
Cette puanteur qui hantait le quartier s’est avérée être bien plus sinistre lorsque la police, en enquêtant sur une affaire d’agression, a découvert que Sowell cachait des corps au sein même de sa résidence. L’étendue de l’horreur s’est révélée choquante : les restes d’au moins 11 victimes ont été découverts chez lui.
Ciblant principalement des femmes en marge de la société, il attirait ses victimes pour ensuite les agresser, souvent jusqu’à la mort. Ses crimes ont eu lieu entre 2007 et 2009. Jugé et condamné à la peine de mort en 2011, Sowell est décédé en prison en 2021, après plus d’une décennie passée dans le couloir de la mort.
Ce sombre épisode a également mis en lumière les failles du système judiciaire local, puisque la nature marginalisée des victimes avait conduit à une investigation insuffisante sur leurs disparitions. Ce constat a déclenché plusieurs poursuites judiciaires et règlements, poussant ainsi la ville de Cleveland à une profonde remise en question.
Jack Unterweger

Johann « Jack » Unterweger cachait sa véritable nature derrière une façade publique respectée. Né le 16 août 1950 en Autriche, il était totalement illettré lorsqu’il a été incarcéré pour le meurtre d’une femme en 1976. Cependant, en quelques années, il est devenu un écrivain accompli dont l’autobiographie a non seulement été publiée, mais a rencontré un véritable succès.
Rapidement, Unterweger est devenu une figure emblématique parmi l’élite culturelle autrichienne. Libéré par grâce en 1990, il réintègre la société en tant que superstar littéraire montante. Pourtant, comme le révèlent Charlotte Greig et John Marlowe dans leur ouvrage Serial Killers & Psychopaths : True Life Cases that Shocked the World, le prétendu écrivain réformé était loin d’avoir changé.
Au contraire, il continuait secrètement à tuer des travailleuses du sexe en Autriche et en République tchèque tout en jouant le rôle d’un journaliste criminel qui couvrait ses propres méfaits. Sa double vie lui a permis de perpétrer de nombreux crimes sans éveiller les soupçons.
Unterweger s’est ensuite rendu aux États-Unis, où il a séjourné dans le tristement célèbre Cecil Hotel de Los Angeles. C’est là qu’il a commis trois autres meurtres. Cet hôtel est célèbre non seulement pour ses affaires criminelles, notamment liées au serial killer Richard Ramirez et au meurtre non élucidé de Black Dahlia, mais aussi pour la mystérieuse et tragique disparition d’Elisa Lam en 2013.
Heureusement, les autorités ont fini par déjouer ses manœuvres. Arresté en 1992, Jack Unterweger a été condamné à perpétuité en 1994 pour neuf meurtres. Il s’est suicidé dans sa cellule, mettant ainsi fin à une vie marquée par une dualité déroutante entre respectabilité apparente et violence meurtrière.
Tsutomu Miyazaki

En 1989, Tsutomu Miyazaki, un tueur en série japonais, a profondément choqué le Japon. Ses crimes horribles ont amené le pays à se remettre en question sur plusieurs aspects culturels et sociaux. Miyazaki ciblait spécifiquement de jeunes filles, qu’il a assassinées au nombre de quatre en l’espace d’un an.
Selon les investigations, il n’a pas seulement tué ses victimes, mais a aussi abusé de leurs restes de manière macabre. Ce qui ajoute à la cruauté de ses actes, il se plaisait à tourmenter les familles des victimes en leur envoyant des messages provocateurs. Par ailleurs, il a envoyé un colis contenant des indices ainsi que des dents, renforçant son profil de tueur particulièrement dérangé.
Son arrestation s’est produite lorsqu’il tentait de photographier une autre jeune fille. Ce fait divers a fait grand bruit, non seulement à cause de la nature extrême des actes, mais également en raison du débat qu’il a suscité sur la culture populaire japonaise. Miyazaki était un consommateur assidu des médias les plus violents du pays, ce qui a soulevé des interrogations sur l’influence des représentations violentes, notamment celles dépeignant des personnages féminins à l’apparence très juvénile.
Né le 21 août 1962, Tsutomu Miyazaki, surnommé par certains le « Nerd tueur », a été exécuté en 2008. Pourtant, son sombre héritage perdure. En 2022, son histoire a notamment inspiré le roman My Annihilation de Fuminori Nakamura, mettant en lumière à nouveau ce cas fascinant et terrifiant.
William Lester Suff

D’après l’ouvrage de Susan Hall, The World Encyclopedia of Serial Killers, William Lester Suff, également connu sous le nom de Bill Lee Suff, est un criminel dont la noirceur dépasse l’entendement : il a assassiné sa propre fille en bas âge. Après avoir obtenu une libération conditionnelle en 1984, il a rapidement démontré que la prison ne lui avait pas appris le respect de la vie humaine.
Né le 20 août 1950, Suff a revendiqué au moins douze victimes avant son arrestation en 1992. Ses cibles étaient principalement des travailleuses du sexe dans le comté de Riverside en Californie, ce qui lui a valu le surnom de « Tueur de Riverside ».
Au fil du temps, ses crimes sont devenus de plus en plus brutaux, comme le rapporte le Los Angeles Times. Son arrestation a eu lieu en janvier 1992 lorsqu’un policier l’a intercepté en voiture et a découvert des preuves accablantes, dont un couteau ensanglanté.
Condamné à la peine capitale en octobre 1995, sa sentence n’a toutefois jamais été exécutée. En 2019, il se trouvait encore dans le couloir de la mort, quand le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a instauré un moratoire sur les exécutions dans l’État.
Elizabeth Báthory

Comtesse hongroise née le 7 août 1560, Elizabeth Báthory est l’une des figures les plus notoires de l’histoire criminelle. Selon les archives historiques, elle serait responsable de la mort de centaines de victimes, certaines estimations évoquant jusqu’à 650 personnes.
Son parcours n’est toutefois pas limité au meurtre : Báthory était aussi reconnue pour ses actes de torture extrême, ciblant principalement de jeunes femmes et leur infligeant des souffrances terrifiantes et souvent mortelles. Cette légende noire a commencé à circuler dès 1604, et en 1610, elle fut confinée en résidence surveillée au château de Čachtice.
Malgré les récits effarants, des recherches approfondies suggèrent que le nombre réel de ses victimes pourrait être considérablement inférieur aux chiffres avancés. Certains historiens estiment que la plupart des témoignages à charge auraient été amplifiés voire inventés, dans le but de ternir sa réputation pour des raisons politiques et financières. De plus, la célèbre légende selon laquelle elle se baignait dans le sang de ses victimes pour préserver sa jeunesse est aujourd’hui largement remise en question, cette histoire n’étant apparue que bien après sa mort.
Michael Bruce Ross est né le 26 juillet 1961, comme indiqué dans l’ouvrage de Christopher Berry-Dee, Talking with Serial Killers: Dead Men Talking. Homme cultivé ayant étudié à l’université Cornell, Ross a commencé sa série de meurtres durant les années 1980. Il est suspecté d’avoir assassiné jusqu’à huit jeunes femmes, ce qui a rendu sa capture particulièrement ardue pour les forces de l’ordre.
Son arrestation et sa confession ont cependant eu lieu sans trop de difficulté au milieu des années 1980. Condamné à mort pour quatre meurtres dans le Connecticut, il a également admis d’autres crimes. En 2011, il a reçu une peine supplémentaire en prison dans le comté d’Orange, en Californie.
Fatigué de son séjour dans le couloir de la mort, Ross a activement cherché à obtenir l’injection létale afin d’accélérer son exécution. Cette démarche s’est révélée compliquée, plusieurs parties s’opposant à sa volonté pour différentes raisons. Il a donc dû démontrer sa pleine lucidité mentale par un processus long et rigoureux. Finalement, en 2005, Ross est devenu le premier détenu du Connecticut à être exécuté depuis 1960.
D’une fin pour le moins étrange, un professionnel de santé mentale qui s’était opposé à sa demande d’exécution a reçu, après celle-ci, une lettre finale de Ross. Il y écrivait simplement : « Échec et mat. Vous n’avez jamais eu la moindre chance ! »
Anatoly Onoprienko

Anatoly Onoprienko a connu une enfance tragique : après la mort de sa mère, son père l’a confié à un orphelinat, comme le relate R.J. Parker dans son ouvrage Serial Killers Encyclopedia. Plus tard, Onoprienko se tourne vers le cambriolage, mais c’est à partir de 1989 qu’il libère une colère intérieure d’une violence inouïe.
Il commence alors à tuer brutalement toutes les personnes qu’il trouve dans les maisons ou les véhicules qu’il s’introduit. Selon les rapports, notamment celui du The Guardian, il aurait assassiné 40 victimes rien que durant les années 1995 et 1996, pour un total de 52 meurtres. Après chaque crime, il pillait souvent les biens de ses victimes avant d’incendier les lieux.
Né le 25 juillet 1959 à Lasky, en Ukraine, Onoprienko fut surnommé « Terminator » en raison de son attitude glaciale et dépourvue d’émotion, particulièrement perceptible après son arrestation en 1996. La cruauté extrême de ses actes et la peur qu’il semait dans la population ont poussé le public à réclamer sa peine de mort.
Le tueur en série partageait d’ailleurs ce souhait, mais l’Ukraine venait alors d’abolir la peine capitale. Onoprienko fut donc condamné à la prison à perpétuité. Il mourut en 2013 d’une crise cardiaque alors qu’il était incarcéré, mettant ainsi un terme à son règne macabre.
Ángel Maturino Reséndiz
Ángel Maturino Reséndiz, né le 1er août 1959, représente un cas atypique parmi les serial killers. Malgré une seule condamnation officielle pour meurtre, son profil suscite un vif intérêt dans le milieu judiciaire et médiatique.
Surnommé « The Railroad Killer », il exploitait le réseau ferroviaire pour se déplacer, profitant des trains de marchandise pour s’introduire dans différentes localités. Son mode opératoire se caractérisait par des attaques brutales avec les moyens disponibles sur place, après avoir fouillé les lieux à la recherche de nourriture et de ressources, puis s’éclipsant rapidement par le même chemin.
Les autorités et les médias, dont plusieurs grandes chaînes américaines, lui attribuent au moins 15 meurtres. En 1999, grâce à une négociation menée par un sergent des Texas Rangers, utilisant la famille du tueur comme intermédiaire, Reséndiz fut appréhendé sans violence. Son parcours s’est achevé par une exécution au Texas en 2006.
David Alan Gore, en compagnie de son cousin Fred Waterfield, formait un duo redoutable qui traquait et agressait de jeunes femmes. Selon un reportage du Palm Beach Post, Gore a assassiné six victimes entre 1981 et 1983. Après la révélation de leurs crimes, ces deux natifs de Floride furent tristement surnommés « Les Cousins Tueurs ».
L’arrestation de Gore eut lieu en 1983 grâce au témoignage d’un témoin qui alerta les autorités lors de la tentative d’évasion d’une victime. Condamné à mort en 1984, il passa 28 ans dans le couloir de la mort avant d’être exécuté par injection létale. Son cousin Waterfield, impliqué dans une moindre mesure, écopa quant à lui de deux peines à perpétuité la même année.
Né le 21 août 1953, David Alan Gore montra peu de remords durant sa détention. Toutefois, juste avant son exécution le 12 avril 2012, il exprima un repentir tardif : « Je suis désolé. J’ai eu des remords », déclara-t-il. « Je ne suis plus l’homme que j’étais alors. Je ne crains pas la mort. » Ces mots reflètent une transformation poignante, un rare moment d’humanité avant la fin d’un parcours criminel marqué par la violence.
Kendall Francois

Entre 1996 et 1998, huit femmes disparurent mystérieusement dans la région de Poughkeepsie, dans l’État de New York. Ces disparitions plongèrent la police dans une énigme complexe, un véritable défi à élucider. « Pendant deux ans, nous avons pourchassé un fantôme », confia William Siegrist, détective chargé de l’enquête. Aucun lieu de crime, aucun corps, rien qui ne permette d’avancer… jusqu’au jour de l’arrestation de Kendall Francois.
Né le 26 juillet 1971, Francois était un résident local et travaillait comme surveillant scolaire. Il avait la réputation d’être une figure inquiétante pour les travailleuses du sexe du secteur. Tout bascula lorsqu’une victime potentielle réussit à fuir son agresseur et à alerter les autorités. Cette piste mena la police à perquisitionner le domicile de Francois le 2 septembre 1998.
Ce qu’ils découvrirent fut terrifiant : Francois avait conservé les dépouilles de ses victimes chez lui, révélant ainsi l’identité d’un tueur en série. Pour éviter la peine de mort, il reconnut ses crimes et, en 2000, il fut condamné à huit peines de prison à vie consécutives, sans possibilité de liberté conditionnelle. Il mourut en 2014, laissant derrière lui un sombre héritage marqué par l’horreur et la souffrance.
Faits Divers

Selon une étude relayée par Wicked Local, la probabilité pour un Lion de devenir un tueur en série serait liée à une obstination profonde, souvent nourrie par leurs convictions personnelles. Lorsqu’elles sont menacées, ces convictions peuvent pousser certains Lions à envisager des actions extrêmes comme unique réponse possible. L’astrologue Iva Vucinic explique ainsi : « Les Lions ont le droit de croire en ce qu’ils veulent, donc si leur jugement est gravement blessé au point de remettre en cause la vie de quelqu’un, pourquoi ne pas le tuer, s’ils en ont la possibilité ? »
Bien que les Lions ne soient ni les plus nombreux ni les plus susceptibles de devenir des tueurs en série, il demeure fascinant d’identifier quels criminels célèbres de ce type partagent ce signe astrologique. Comme pour tous les signes du zodiaque, les crimes commis par ces individus sont extrêmement variés, tout comme leur profil démographique et leur origine géographique.
De nombreux facteurs de la vie peuvent conduire une personne à devenir un tueur en série, et ces éléments peuvent avoir peu ou pas de lien avec le signe sous lequel cette personne est née. Pourtant, l’étude de ces corrélations entre astrologie et comportements criminels soulève des questions intéressantes sur la psychologie humaine et ses mystères.
