Découvrez la vérité cachée sur Adam Sandler, star d’Hollywood

par Zoé
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Divertissement

Adam Sandler regardant avec la bouche ouverte

Adam Sandler figure parmi les comédiens de cinéma les plus populaires et prolifiques de tous les temps. Depuis plus de trente ans, il captive des millions de fans avec ses films délirants, peuplés de personnages burlesques, mais toujours porteurs d’une grande sincérité émotionnelle. Son parcours débute notamment par des sketches marquants et parfois controversés diffusés dans l’émission culte « Saturday Night Live » (SNL).

Au fil des années, Sandler a enchaîné des dizaines de films, qu’ils soient destinés aux salles de cinéma ou aux plateformes de streaming. Parmi ses titres les plus emblématiques, on retient « Happy Gilmore », « The Waterboy », « Click », « Grown Ups », « Hôtel Transylvanie », « Murder Mystery » ou encore « Hubie Halloween ». Ce catalogue ne reflète même pas ses incursions dans des œuvres plus dramatiques, où il a prouvé sa polyvalence.

Cependant, sa carrière est loin d’être exempte de critiques. Beaucoup d’experts et critiques de cinéma se montrent très réservés, jugeant souvent ses productions peu raffinées, et lui reprochant de « voler » des parts de marché à Hollywood avec ce style particulier. Cette polarisation renforce mystère et curiosité autour de sa personnalité réelle, souvent éclipsée par les rôles exagérés qu’il incarne.

Découvrir l’homme derrière les personnages comiques permet de révéler une facette insoupçonnée de cette superstar, qui a marqué durablement la culture populaire américaine, malgré les controverses. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Adam Sandler reste aujourd’hui une figure incontournable du divertissement mondial.

Il aurait pu jouer dans de nombreux grands films

Adam Sandler et Quentin Tarantino, visages proches, bouches ouvertes

Dans les années 1990 et au début des années 2000, Adam Sandler était l’une des stars de cinéma les plus rentables d’Hollywood. Sa seule présence au générique attirait des dizaines de millions de spectateurs. Lorsque l’acteur a commencé à s’éloigner des comédies légères qu’il co-écrivait et produisait, pour explorer des rôles plus dramatiques ou expérimentaux, les studios et réalisateurs ont manifesté un grand intérêt.

Plusieurs fois, Sandler s’est vu proposer des rôles majeurs dans des films qui ont rencontré un grand succès commercial ou critique. Ces rôles lui auraient permis de jouer des personnages très différents de son image habituelle. Pourtant, il a finalement refusé toutes ces offres.

Par exemple, le thriller de Michael Mann sorti en 2004, Collateral, initialement intitulé The Last Domino, devait voir Adam Sandler incarner le tueur à gages que Tom Cruise a finalement interprété. De même, la comédie d’action Knight and Day (2010) de James Mangold, avec Tom Cruise dans le rôle principal, était d’abord proposée à Sandler six ans plus tôt, alors que le projet était développé par un studio aujourd’hui disparu.

Enfin, Quentin Tarantino a imaginé le rôle du sergent Donny Donowitz — surnommé « The Bear Jew » —, un soldat joyeusement violent dans son film de 2009 Inglourious Basterds. Tarantino espérait que Sandler incarnerait ce personnage, mais ce dernier était déjà engagé dans le tournage de Funny People, réalisé par son ami et collaborateur Judd Apatow.

Adam Sandler et Julie Bowen riant à la conférence de presse de Happy Gilmore 2

Depuis son premier grand rôle au cinéma avec Billy Madison en 1995, Adam Sandler s’entoure toujours de proches alliés parmi ses amis et collègues humoristes. Au fil des trente dernières années, ce cercle informel d’acteurs récurrents s’est élargi, passant des anciens du casting de Saturday Night Live à de nombreux talents montants et figures incontournables d’Hollywood. Les fans de Sandler peuvent presque toujours compter sur la présence à l’écran de David Spade, Allen Covert, Kevin James, Steve Buscemi, ou encore Dan Patrick.

Une fidélité tout particulièrement notable se manifeste envers les actrices principales de ses films. Drew Barrymore, en tête, a incarné ses partenaires dans plusieurs comédies romantiques cultes telles que The Wedding Singer, 50 First Dates et Blended. « Nous nous aimons beaucoup, nous nous connaissons totalement et profondément, » confiait Sandler en expliquant la complicité qui se dégage entre eux. En 2011, il retrouvait Jennifer Aniston dans Just Go With It, une collaboration marquante sur Netflix qui s’inscrit environ vingt ans après le début de leur amitié durable.

Sandler a aussi produit deux volets de Happy Gilmore avec Julie Bowen : le premier en 1996, avant que celle-ci ne devienne une vedette télé majeure, et le second après la fin de Modern Family. Julie Bowen a expliqué ne pas s’attendre à être rappelée : « Je ne pensais pas qu’ils voudraient me revoir. Qui pourrais-je être dans ce nouvel épisode ? Lui doit forcément avoir une partenaire plus jeune pour Happy Gilmore 2. » Pourtant, Sandler a tenu à sa présence, la qualifiant de « cœur du film ». Cette fidélité mutuelle souligne l’importance qu’Adam Sandler accorde aux liens durables qu’il tisse avec ses co-stars, un pilier essentiel dans la dynamique de ses productions.

Adam Sandler souriant et faisant le signe de la paix

Certaines figures de la comédie à Hollywood ont eu du mal à accepter Adam Sandler. Andy Kindler, comédien critique et acéré, qui a débuté à peu près à la même époque que Sandler, admirait autrefois son travail. Il confiait à LAist : « J’adorais son stand-up, j’aimais ses sketches sur Saturday Night Live. Souvent, je critique des artistes qui, à mon sens, pourraient faire mieux, mais qui semblent avoir privilégié l’argent. » Cette remarque prend tout son sens lorsqu’en 2024 l’annonce d’une suite à « Happy Gilmore » a fait surface. Sur X (anciennement Twitter), Kindler s’est permis une pique en disant : « Avant « Grownups 9 » ? C’est comme la fin d’un match NBA avec un écart énorme, c’est l’heure des déchets. »

En 1994, alors qu’Adam Sandler entamait sa cinquième saison dans l’émission culte Saturday Night Live, le casting s’élargit avec l’arrivée notamment de Janeane Garofalo, actrice et humoriste très en vogue à l’époque. Mais avant même la diffusion d’un seul sketch, Garofalo déclara au New York Observer qu’elle trouvait « SNL » dans sa forme actuelle « regardable tellement c’était insupportable ». Plus avant, elle qualifiait les sketches de Sandler de « puérils » dans une presse canadienne. Apprenant cela, Sandler ignora Garofalo en coulisses pendant plusieurs semaines avant de la confronter. De son côté, Garofalo refusa finalement de participer aux rôles proposés par Sandler et ses scénaristes préférés, jugeant qu’ils la rabaissaient, ce qui la conduisit à quitter « Saturday Night Live » après seulement 14 épisodes.

Adam Sandler regardant la caméra avec suspicion

Adam Sandler entretenait autrefois une relation fructueuse avec Sony Pictures. Le studio distribuait les films produits par sa société Happy Madison et lui accordait même un espace sur son lot de production. Pourtant, dans les années 2010, Sony a commencé à douter de cette collaboration, notamment après les performances décevantes au box-office de films comme Blended, That’s My Boy et Jack and Jill.

En 2014, lorsque des hackers ont piraté les archives électroniques de Sony et rendu publiques plusieurs communications internes, la rancœur du studio envers Sandler est devenue évidente. Lors d’une réunion où il avait proposé un film à 200 millions de dollars inspiré du jeu de société atypique Candy Land, la négociation s’est si mal déroulée qu’un cadre a qualifié Sandler de « connard ». Plus tard, un autre dirigeant a traité Sandler et ses co-producteurs d’« enflures » pour avoir demandé un budget supplémentaire pour Hotel Transylvania 2.

Quelques semaines avant la fuite de ces emails insultants, Sandler et Happy Madison quittaient Sony pour conclure un accord de quatre films avec Netflix, aujourd’hui incontournable du streaming. Ce partenariat a été prolongé par la suite, aboutissant à la production et/ou la participation de Sandler dans plus d’une douzaine de films pour la plateforme. Cette prise de risque s’est révélée être une opportunité majeure, marquant un tournant dans sa carrière.

Adam Sandler : des rôles marqués par la gestion de la colère

Adam Sandler souriant caméra

Lorsqu’Adam Sandler a émergé comme une star de cinéma incontournable, il incarnait souvent des personnages récurrents, fidèles à un même archétype. Que ce soit dans ses comédies personnelles ou dans des drames réalisés par d’autres, il jouait fréquemment un homme au bord de la rupture, dont la patience finit par exploser en véritables accès de colère. Des films emblématiques comme Happy Gilmore, The Waterboy, The Wedding Singer, Eight Crazy Nights, et plus ironiquement Anger Management, illustrent cette facette de ses rôles où son personnage passe de la tension à la déflagration émotionnelle.

Cette attirance pour des rôles mêlant frustration et libération explosive n’était pas anodine. Sandler a avoué avoir écrit ces personnages comme une forme de catharsis. En dehors des plateaux, il affrontait un syndrome de l’imposteur intense et un sentiment d’indignité. « J’ai une part naturelle de mon cerveau qui me dit que je n’ai pas ma place ici », confiait-il en 2022 lors d’un podcast. Ce malaise profond et ce sentiment d’échec accompagnaient son quotidien depuis des années.

Face à ses difficultés internes, quelle évolution s’est produite chez ce comédien au succès incontestable ? Il a décidé de consulter un thérapeute afin d’apprendre à gérer ces émotions déstabilisantes. « Je parle parfois à un psy », expliquait-il en interview. « Il m’a donné un plan. Parfois, il s’agit simplement de retenir une phrase, de prendre une pause avant de dire une bêtise. J’avais un tempérament impulsif, des réactions rapides. J’ai commis beaucoup d’erreurs stupides et dit beaucoup de choses regrettables. »

Adam Sandler with glasses embracing Chris Farley

Adam Sandler a connu une période marquante de cinq ans où il a laissé son empreinte comique sur l’émission culte « Saturday Night Live » (SNL). Il a quitté le show en 1995, à peu près au moment où son premier film en tête d’affiche, « Billy Madison », sortait en salles. Cette coïncidence a alimenté une idée reçue : Sandler aurait quitté SNL de son plein gré. En réalité, c’est tout le contraire. Avec son ami proche et complice de scène Chris Farley, il a été renvoyé de l’émission qui avait lancé leur carrière et contribué à en faire un programme essentiel à la télévision américaine.

Cette décision a laissé Sandler à la fois en colère, blessé et déconcerté. Il confiait ainsi en 2019 lors de « The Howard Stern Show » : « J’étais blessé parce que je ne savais pas ce que j’allais faire d’autre… Peut-être que je ne serais jamais parti parce que je ne suis pas doué pour dire au revoir. Ils ont dû se débarrasser de moi d’une manière ou d’une autre. »

Longtemps, Sandler a affiché publiquement une colère envers SNL, mais il s’agissait avant tout de masquer la tristesse d’avoir été écarté non pas par les équipes du show, mais par un cadre de NBC qui n’appréciait tout simplement pas son style d’humour. Ce n’est que 24 ans plus tard, en 2019, qu’il est revenu en tant qu’animateur invité d’un épisode. Pour l’ouverture de cette émission, il a livré un monologue autobiographique en chanson, intitulé « I Was Fired », où il raconte avec humour son passage tumultueux sur SNL.

Adam Sandler portant une casquette de baseball et faisant une grimace amusante

Lorsqu’Adam Sandler intègre le casting de « Saturday Night Live » en 1990, il devient rapidement l’une des figures les plus marquantes de cette institution de la comédie nocturne. Pourtant, paradoxalement, il demeure encore largement inconnu du grand public, malgré sa présence régulière dans des films et séries populaires.

En 1987, alors qu’il étudie à la prestigieuse Tisch School of the Arts de l’Université de New York, Sandler décroche son premier rôle à l’écran : il incarne Smitty, un ami de l’adolescent Theo Huxtable, dans quatre épisodes de « The Cosby Show », alors l’émission la plus regardée à la télévision.

Cependant, cette exposition n’aboutit pas immédiatement à une renommée grand public. Ses passages sur scène, notamment dans le spectacle de stand-up « Showtime at the Apollo », ou sa participation à l’émission culte de MTV « Remote Control », où il interprète divers personnages naïfs comme « Stud Boy », ne suffisent pas à propulser sa carrière.

Ce n’est qu’après avoir réussi son audition pour « Saturday Night Live » que la trajectoire d’Adam Sandler prend un véritable envol, marquant le début d’une ascension spectaculaire dans le monde du divertissement.

Adam Sandler dans The Waterboy

En 1998, Adam Sandler coécrit The Waterboy, où il incarne Bobby Boucher, un jeune aide-entraîneur de football américain universitaire, simple d’esprit, dont la colère face aux brimades se transforme en une énergie incroyable pour plaquer ses adversaires. Sandler a expliqué à Entertainment Tonight que l’idée lui est venue alors qu’ils enregistraient un album : « Mon ami Jonathan Loughran lisait un magazine ‘Sports Illustrated’ et parlait des water boys. J’ai alors imaginé un personnage qui, au lieu d’être un quart-arrière ou un joueur vedette, serait un ‘water boy’ débordant de rage et finissant par exploser sur le terrain en plaquant quelqu’un. Nous avons trouvé que ce serait drôle de faire un film où la star est celui qui plaque bien. »

Pour Happy Gilmore, l’histoire d’un joueur de hockey colérique qui devient golfeur professionnel, Sandler s’est inspiré de Kyle McDonough, un ami d’enfance qui a ensuite évolué en tant que joueur professionnel de hockey sur glace. McDonough raconte au British Ice Hockey : « Son père nous emmenait souvent jouer au golf, et je pouvais frapper la balle plus loin qu’eux, alors ils ont pensé que c’était grâce au hockey. C’était l’idée du père d’Adam qu’il y avait quelque chose d’amusant là-dedans, et Adam a exploité cette idée. »

Par ailleurs, les célèbres appels téléphoniques farceurs diffusés au début de Funny People, un film sur un comédien réalisé par Judd Apatow, sont authentiques. Il s’agit d’appels que Sandler avait véritablement passés au début des années 1990, à une époque où il partageait un appartement avec Apatow.

Adam Sandler en tournage sur le film You Don't Mess with the Zohan

Dans les années 2000, les films d’Adam Sandler ont évolué vers des créations originales et décalées, culminant avec la comédie d’action absurbe et politiquement engagée de 2008, You Don’t Mess with the Zohan. L’histoire suit un agent antiterroriste israélien légendaire qui abandonne la violence et l’espionnage pour devenir coiffeur aux États-Unis.

Sandler a coécrit le scénario avec Robert Smigel et Judd Apatow, mais tous ont été accusés d’avoir volé le concept et le personnage principal à un scénariste méconnu, Robert Cabell.

Ce dernier avait créé et tenté de vendre une série animée en ligne autour de Jayms Blonde, un personnage original proche de James Bond : un Navy SEAL reconverti en coiffeur. Dans ses documents promotionnels, Jayms Blonde utilise un pistolet-sèche-cheveux, similaire à l’image de Zohan pointant un sèche-cheveux sur l’affiche du film.

Cabell a porté plainte pour vol d’idée et contrefaçon, affirmant qu’un représentant de la société de production de Sandler l’avait contacté sur MySpace pour discuter d’un projet lié à Jayms Blonde. Néanmoins, le juge, dubitatif face à ces allégations, a finalement rejeté le procès en 2011.

Des parties du corps neuves pour Adam Sandler

Adam Sandler à la première de Spaceman

En 2022, Adam Sandler a passé la majeure partie de l’année sur des plateaux de tournage, alternant entre la comédie « Murder Mystery 2 » et le drame psychologique de science-fiction « Spaceman ». Ces deux films exigeaient physiquement la star, entre scènes d’action intenses et séquences de flottement en apesanteur. Fidèle à lui-même, il a voulu réaliser ses propres cascades autant que possible.

Malgré ses 50 ans passés, son corps n’était plus aussi endurant qu’auparavant. Au cours du tournage, une blessure à la hanche s’est aggravée sous l’effort continu. Lors de la première de « Murder Mystery 2 », il confiait à Variety : « J’étais suspendu tout le temps dans un harnais pour ‘Spaceman’. Je sentais que quelque chose n’allait pas avec ma hanche. Ça ne marchait pas. Pendant le tournage de ce film et de l’autre, j’ai compris qu’il fallait absolument faire une radio, c’était sérieux. »

Peu après avoir terminé « Murder Mystery 2 », Sandler a choisi de se faire remplacer la hanche au cours d’une opération chirurgicale. À 56 ans, il avoue ses craintes face à cette étape difficile : « Tout devient effrayant à cet âge. On ne sait jamais vraiment comment on va se relever. Je suis puni, mon corps souffre ». Cette intervention révèle ainsi la détermination de l’acteur à continuer son parcours malgré les contraintes physiques liées à son âge.

Adam Sandler chantant dans Billy Madison

Adam Sandler a longtemps été la cible impitoyable des critiques, et cela remonte à son premier grand rôle dans « Billy Madison ». Dès la sortie du film, les critiques n’ont pas mâché leurs mots, comme Roger Hurlburt du South Florida Sun-Sentinel qui n’a pas hésité à qualifier la comédie de « véhicule plus morne difficile à imaginer ». Pourtant, derrière la figure comique se cache un homme sensible. Sandler lui-même confiait à The Washington Post qu’il avait ressenti un véritable choc à la lecture des critiques avant la sortie du film : « Je réalisais que j’allais être dans les journaux, c’était important. Puis j’ai lu quelques critiques et je me suis dit : ‘Ouf, ça fait mal’. »

Après le succès de « Happy Gilmore » en 1996, il a fait le choix de ne plus lire les critiques, souvent trop dures. « J’invite des personnes formidables à participer à mes films, et je souhaite qu’elles n’aient jamais à lire ces bêtises sur ce que nous avons créé », expliquait-il à AARP en 2022. Cette sensibilité était particulièrement exacerbée face aux remarques d’Howard Stern. Lors d’une émission en 2015, Sandler lui avait rappelé leur passé : « Quand j’étais en première année à NYU, je t’adorais. C’est pour ça que c’était étrange quand tu me critiquais durement. » Stern s’est alors excusé, reconnaissant avoir été un « vrai imbécile ».

Avec le temps, Sandler a appris à ignorer les voix négatives. Lors d’un échange avec Netflix rapporté par Entertainment Weekly, il expliquait : « Je ne me laisse plus trop déstabiliser. Peut-être qu’on ne devrait tout simplement pas lire ces critiques, elles sont tellement virulentes. » Cette résilience lui a sans doute permis de poursuivre sa carrière avec une confiance renouvelée, en dépit des jugements souvent sévères qui accompagnent le monde du divertissement.

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