Quelle était la valeur nette de Betty White à sa mort ?
La célèbre actrice et icône de la télévision Betty White est décédée chez elle le 31 décembre 2021, à seulement quelques semaines de son centième anniversaire. Sa carrière, débutée dans les années 1940, l’a amenée de la radio à la télévision et au cinéma. Elle est surtout connue pour ses rôles dans « The Mary Tyler Moore Show » dans les années 1970, ainsi que pour son interprétation de Rose Nylund dans la série télévisée « Les Golden Girls », diffusée de 1985 à 1992.
En plus de sa longévité professionnelle, Betty White a été honorée de plusieurs récompenses pour son travail, incluant des Golden Globes, des Screen Actors Guild Awards, et cinq Emmys, sans oublier son entrée au Hall of Fame des Emmys. Plus tard dans sa vie, elle est devenue autant célèbre pour son optimisme inébranlable et sa bonne humeur face au vieillissement que pour ses performances. Ce succès est reflété dans la valeur nette de la star au moment de son décès.
Succès tant sur l’écran qu’en coulisses
Ayant œuvré dans l’industrie du divertissement pendant près de huit décennies, la valeur nette de Betty White s’élevait à 75 millions de dollars au moment de sa mort. Grande partie de cette richesse provenait de ses rôles à la télévision, et personne n’a travaillé dans ce domaine aussi longtemps qu’elle. Peu de gens savent cependant que Betty White faisait également partie des premières femmes productrices de l’industrie, débutant sa carrière de productrice avec « Life with Elizabeth » dans les années 1950. Forte de cette compréhension des aspects financiers de Hollywood, Betty White jouissait d’une solide situation financière au moment de son décès.
Betty White a été mariée trois fois et était la belle-mère de trois enfants issus de son premier mariage, n’ayant pas d’enfants biologiques. Selon des sources, elle a révisé son testament à l’occasion de son 99ème anniversaire, et lorsqu’on lui a demandé où irait son argent, ses biens et sa propriété après sa mort, elle a donné la réponse la plus typique d’elle-même : à ses chiens, qu’elle traitait comme ses enfants.