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L’essentiel
La saison 14 de « The Voice » est lancée sur TF1 samedi 1er février 2025, à 21h10. Florent Pagny et Vianney retrouvent leurs fauteuils de coach, accueillant également deux nouvelles recrues, Patricia Kaas et Zaz.
« On m’a plusieurs fois proposé ce genre d’émission. À chaque fois, j’ai refusé parce que je ne me sentais pas du tout d’y aller. Être très exposée, hypermédiatisée, ça ne me ressemble pas », confie Zaz. « Mais cette fois-ci, j’ai ressenti une excitation à l’idée de pouvoir aider de jeunes talents à s’épanouir. »
Elle observe que « faire »The Voice » a comme libéré quelque chose en moi : »Vas-y, chacun peut penser ce qu’il veut, moi, je sais qui je suis. » aujourd’hui, je sais mieux fixer des limites, donc j’ai moins peur de me faire polluer ou envahir par les opinions extérieures. »
Zaz décrit son expérience sur le plateau comme une « course » où tout s’enchaîne. « C’est très intense et cela demande énormément de concentration. Il faut exprimer ses impressions, définir pourquoi on a aimé ou non, et cela implique beaucoup d’émotions. Cet exercice n’est pas simple pour moi, car je ne suis pas habituée à cette densité d’interactions. »
Une nouvelle aventure
Faire de la promotion pour « The Voice » plutôt que pour un projet musical surprend Zaz : « Lors de la conférence de presse, c’était étrange d’être face à un mur de journalistes, mais je me sens à ma place. Je sais pourquoi je fais »The Voice » », explique-t-elle.
Son choix réfléchi
« Jusqu’à ma décision, en juillet, je ne savais pas que j’allais accepter. Finalement, je me suis dit : « Lance-toi ! Tu n’as rien à perdre. » Le fait que la télé ne soit pas mon univers préféré a compliqué mon choix, mais les équipes de production ont été très accueillantes. Cela a été déterminant pour moi. »
Un défi personnel
Lors des premiers tournages, elle avoue ne pas avoir été totalement à l’aise. « J’adore la nouveauté, même si elle m’angoisse. Face aux caméras, je me sens souvent mal à l’aise. Je passe beaucoup de temps à analyser ce que j’aurais pu dire ou faire différemment. », révèle-t-elle.
Les conseils de ses pairs
Florent Pagny et Vianney lui ont conseillé de rester authentique. « On m’a dit : « Bouge si tu en as envie ! » Au début, j’hésitais. Enlever mes chaussures était un symbole, une manière de montrer que je n’avais plus peur du jugement. »
Surmonter le jugement
Concernant le regard du public, elle déclare : « Peut-être qu’ils apprendront à mieux me connaître. Certaines personnes continueront à me critiquer, mais je sais que mes intentions sont bienveillantes. » Zaz se sent désormais plus en phase avec elle-même, affirmant qu’elle a « moins peur de se faire envahir » et qu’elle sait mieux poser des limites.
Une sensibilité à l’écoute
La coach évoque sa capacité à « voir l’invisible ». Elle perçoit des émotions inconscientes devenant des évidences. « Cela a toujours été une force, même si cela complique parfois les interactions », dit-elle. Aux auditions à l’aveugle, elle a souvent ressenti des talents cachés derrière des barrières.
Passion pour l’humain
Zaz se passionne pour la découverte des personnes et de leurs failles. « J’aime aider les talents à se libérer de leurs contraintes. » Sa fonction de coach lui permet également d’appliquer les conseils qu’elle donne à ces jeunes artistes, contribuant ainsi à son propre cheminement personnel.