Ce que nous savons sur la controverse des résultats d’autopsie de Bob Saget
Le comédien Bob Saget est décédé le 9 janvier 2022 au Ritz-Carlton d’Orlando. Dès l’annonce de son décès, un grand intérêt public s’est manifesté autour des circonstances entourant cet événement tragique.
Sa mort est survenue après une série de performances en Floride, qui l’avaient conduit à poster sur Instagram juste avant son décès. Dans ce message, il exprimait : « Je suis de retour dans la comédie comme quand j’avais 26 ans. Je suppose que je trouve ma nouvelle voix et j’adore chaque moment. »
Un nouvel élan d’intérêt a surgi lorsque les résultats de l’autopsie ont révélé que sa mort était due à un traumatisme crânien, contrairement aux spéculations selon lesquelles elle serait causée par une attaque cardiaque ou un AVC, comme cela avait été rapporté dans les jours qui ont suivi.
Un autre tournant dans cette affaire est survenu lorsque la famille de Saget a engagé des poursuites pour bloquer la publication des documents liés à l’enquête sur la mort du comédien.
La raison du procès
Selon des informations rapportées, le procès, déposé par la veuve de Saget, Kelly Rizzo, et ses trois filles contre le bureau du shérif du comté d’Orange et le bureau du médecin légiste, soutient que des médias prévoyaient de soumettre des demandes de documents publics qui inclueraient des éléments relatifs à l’enquête en cours. Cela inclurait également des photos ainsi que des enregistrements audio et vidéo. La plainte affirme que si ces matériaux étaient publiés, aucun « intérêt public légitime ne serait servi. »
Le procès détaille également la nature des documents concernés, indiquant que certains d’entre eux représentent graphiquement M. Saget ou ses traits, et ont été créés par les défendants au cours de l’enquête.
De plus, la poursuite fait valoir que la divulgation de ces documents violerait des « intérêts de vie privée légitimes » et que ces informations devraient être réservées à la femme et aux filles de Saget, afin d’éviter tout préjudice mental et émotionnel à sa famille.
Les plaignants craignent de subir un préjudice irréparable, se traduisant par une souffrance mentale extrême, une angoisse et un stress émotionnel si les défendants libéraient les dossiers en réponse aux demandes de documents publics.
