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Les Tentatives d’Assassinat Évitée par la Reine Élisabeth II
L’histoire regorge de moments cruciaux, de tournants décisifs et parfois, de tentatives d’assassinat qui auraient pu modifier le cours de l’histoire. La Reine Élisabeth II, icône de la monarchie britannique, a elle aussi été la cible de plusieurs complots visant à en finir avec sa vie. Retour sur ces événements haletants, où la souveraine a échappé de justesse à la tragédie.
Le Complot de Lithgow
La première tentative d’assassinat, connue à ce jour, eut lieu en 1970 lors d’une visite de la Reine en Australie. C’était durant les célébrations du bicentenaire de la revendication de l’Australie par James Cook pour le Royaume-Uni. Alors qu’elle voyageait en train avec son mari, le Prince Philip, près de la ville de Lithgow, un tronc d’arbre gigantesque fut retrouvé sur les rails, menaçant de faire dérailler le train royal. Heureusement, le train avançait lentement, évitant ainsi le pire. Cet incident fut gardé secret jusqu’en 2009, mettant en lumière la dangerosité des actions des extrémistes (via ABC News).
L’Incident de Trooping the Colour
La deuxième tentative d’assassinat arriva en juin 1981 à Londres, lors du défilé annuel marquant l’anniversaire officiel des monarques britanniques. Alors que la Reine défilait à cheval, un adolescent de 17 ans nommé Marcus Sarjeant tira six coups de pistolet d’alarme. Heureusement, aucun mal ne fut fait, mais l’incident laissa le monde sous le choc. Sarjeant, inspiré par des attentats récents sur d’autres personnalités, fut condamné à cinq ans de prison. La Reine, gardant son calme olympien, poursuivit le défilé comme si de rien n’était, démontrant ainsi son sang-froid légendaire (via Harper’s Bazaar).
Le Voyage en Nouvelle-Zélande
Quelques mois après l’incident de Trooping the Colour, la Reine se trouvait à Dunedin, en Nouvelle-Zélande, sur l’île du Sud. Alors qu’elle s’apprêtait à visiter un musée, un coup de feu retentit. L’auteur, un adolescent de 17 ans nommé Christopher Lewis, manqua sa cible de peu avec son fusil. Les autorités néo-zélandaises préférèrent garder le silence sur cette tentative d’assassinat, qui ne fut révélée qu’en 2018. Lewis, obsédé par la royauté et souffrant de troubles mentaux, tenta de nouveau sa chance lors de la visite du Prince Charles en Nouvelle-Zélande en 1983 (via Royal Central).
Un Intrus Inattendu
Un matin de juillet 1982, la Reine Elizabeth II se réveilla pour trouver un intrus dans sa chambre, tenant un éclat de verre ensanglanté. Cet homme était Michael Fagan, un Londonien au chômage ayant déjà réussi à pénétrer à plusieurs reprises dans le palais de Buckingham. Son intrusion, plus farfelue qu’hostile, révéla les failles du système de sécurité. Fagan avait simplement cherché les toilettes, laissant la Reine indemne mais le palais sous le choc. Ses deux incursions furent un camouflet pour la sécurité royale (via Biography).
Vengeance et Arbalète
La tentative la plus récente remonte à 2021, lorsque Jaswant Singh Chail, âgé de 19 ans, fut appréhendé devant le château de Windsor armé d’une arbalète. Son arrestation rapide prouva l’efficacité du renforcement de la sécurité royale. Chail, se réclamant des Siths de « Star Wars », avait pour objectif de venger le massacre de Jallianwala Bagh en 1919 en tuant la Reine le jour de Noël. Les motivations derrière ce geste extrême témoignent de l’impact de l’histoire sur les actions présentes (via The U.S. Sun).
Conclusion
Après des décennies à esquiver les complots et les menaces, la Reine Élisabeth II a su démontrer une résilience et un sang-froid exceptionnels. Chacune de ces tentatives d’assassinat, captivantes et alarmantes, révèle les dangers et les obsessions qui gravitent autour du pouvoir et de la notoriété. La saga mouvementée de la Reine demeure un témoignage poignant de la fragilité de l’autorité et de l’importance de la sécurité royale dans un monde en quête de stabilité.