Qui de George (11 ans), Charlotte (10 ans) ou Louis (7 ans) amuse le plus le public britannique ? Les trois enfants du prince William et de Kate Middleton attirent régulièrement l’attention des médias britanniques. Si l’aîné a longtemps été au centre de toutes les attentions, c’est aujourd’hui le plus jeune qui semble s’attirer les faveurs du public.
Lors des récentes célébrations à Londres marquant les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, la famille royale s’est réunie pour un défilé militaire. Au cours de cet événement, le prince Louis s’est particulièrement illustré par ses bouderies et espiègleries. Il a notamment imité son grand frère en ajustant sa mèche de cheveux et a tiré sur l’aiguillette de l’uniforme de son père, ce qui n’a pas manqué de divertir les spectateurs.
Exemplarité et mignonnerie
Ces pitreries rappellent les moments amusants de Louis lors du jubilé de platine de la reine Elizabeth II en 2022, ainsi que ses bâillements lors du couronnement de son grand-père, le roi Charles III, l’année suivante. Malgré son potentiel comique indéniable, le prince Louis ne fait pas de l’ombre à ses frères et sœurs pour autant.
Durant les mêmes commémorations du 8 mai, le prince George s’est montré exemplaire, notamment lors de la tea party organisée en l’honneur des vétérans, un comportement qui a séduit les internautes et les observateurs de la presse britannique. L’importance de cette apparition était d’autant plus remarquée qu’elle intervenait alors que le jeune prince est le deuxième dans l’ordre de succession au trône.
Quant à Charlotte, qui vient de fêter ses 10 ans, elle est également très appréciée des médias. Son attitude, son style vestimentaire, sa complicité avec sa mère ainsi que son amitié avec Mia, la fille de Zara Tindall et cousine du prince William, sont fréquemment mises en avant pour souligner son charme et sa popularité croissante.
Il est donc difficile de départager ces trois enfants, tous devenus des figures chéries du public britannique, chacun à leur manière. Reste à savoir si l’adolescence viendra bouleverser cet équilibre d’affection.