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Découverte glaçante d’infanticides par un archéologue
Dans le monde de l’archéologie, chaque découverte apporte son lot de mystères et de révélations, et celle faite par l’archéologue Ross Voss lors de fouilles à Ashkelon n’a pas dérogé à cette règle fascinante. Lors de ses explorations dans le système d’égouts de la ville antique, il a mis au jour plus de 100 squelettes d’infants, dévoilant ainsi une pratique aussi choquante qu’énigmatique : l’infanticide. Cette trouvaille glaçante a ouvert une fenêtre sur un aspect sombre de l’histoire ancienne, révélant des pratiques sinistres que le temps avait enfouies et dissimulées.
La Dévastation des Enfants à Ashkelon
Située sur la côte méditerranéenne d’Israël, Ashkelon n’est pas qu’une simple ville antique. Son histoire regorge de péripéties et de significations à la fois religieuses et historiques. Lorsque Ross Voss a fait cette macabre découverte, des questions ont émergé quant à la raison derrière ces sépultures groupées d’innocents. Les fouilles ont révélé que ces bébés, âgés d’à peine une semaine au moment de leur décès, n’étaient pas victimes d’une maladie contagieuse comme la Peste, mais étaient en parfaite santé. Cela soulève la question sur l’origine probable de leur mort, un acte tragique qui a laissé les chercheurs perplexes.
Indices Troublants à l’Ancien Bain Romain
Alors que les archéologues examinaient de près les squelettes de ces tout petits êtres humains, une série de découvertes dans les ruines d’un bain romain ancien a éclairé d’une lumière sinistre la pratique de l’infanticide. Des éléments tels qu’une inscription grecque, traduite approximativement par « Entrez, Amusez-vous », suggèrent que le bâtiment avait une fonction de bordel. De plus, la présence de lampes à huile en céramique ornées de motifs érotiques a renforcé l’hypothèse selon laquelle cet endroit serait associé à des plaisirs charnels. Tout cela a alimenté la théorie selon laquelle les travailleurs du sexe et leurs employeurs pourraient être impliqués dans des actes d’infanticide révoltants.
Pratique Répandue et Acceptée : l’Infanticide dans l’Antiquité
À la lumière de ces découvertes troublantes, l’infanticide apparaît comme une pratique bien plus répandue et acceptée dans certaines cultures anciennes qu’on ne le pensait. Les recherches archéologiques ont mis en lumière divers sites, tels que celui de « Hambelden », où des restes d’une importante quantité d’infants ont été déterrés, laissant croire à des circonstances de décès similaires. Contrairement à l’idée reçue d’un infanticide favorisant les filles à une époque où les garçons étaient plus prisés, il s’avère que la majorité des squelettes trouvés à Ashkelon étaient de sexe masculin, ouvrant la voie à de multiples conjectures mais aucune certitude.
Les Profondes Réflexions sur une Pratique Inhumaine
Devant ces preuves troublantes, les chercheurs se trouvent face à un morceau de l’histoire antique qui soulève des questions sur la moralité et l’éthique de ces sociétés anciennes. La découverte des restes de ces enfants innocents met en lumière des pratiques inhumaines qui étaient intégrées à la vie quotidienne à une époque lointaine. Cette plongée dans le passé obscur révèle une facette de l’humanité où la vie des plus vulnérables était souvent soumise à des intérêts plus sombres et égoïstes. Ces investigations archéologiques invitent non seulement à la réflexion sur le passé, mais aussi à une introspection sur la nature humaine et ses zones d’ombre.