Les Miracles de Jésus dans la Bible : Liste Complète

par Zoé
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Les Miracles de Jésus dans la Bible : Liste Complète
Israël, Palestine
jesus walking on the water

Selon le Nouveau Testament, Jésus-Christ était le Fils de Dieu qui est devenu humain pour instruire le monde sur l’arrivée imminente du Royaume des Cieux. Une des principales manières dont Jésus tentait d’établir son pouvoir et son autorité étaient les miracles. Bien que l’Évangile de Jean affirme que si tous les miracles de Jésus étaient répertoriés, cela remplirait plus de livres que le monde n’en pourrait contenir, les livres que nous avons documentent toutefois un total de 37 miracles de Jésus, sans compter des événements comme la naissance vierge, la résurrection ou son ascension au ciel.

Trois des Évangiles – Matthieu, Marc et Luc – sont connus sous le nom d’Évangiles synoptiques car ils s’accordent largement sur leurs récits de la vie et du ministère de Jésus. En conséquence, beaucoup de ces miracles sont racontés sous plusieurs angles. En revanche, l’Évangile de Jean est construit autour de l’idée des signes et des merveilles de Jésus comme preuve de sa divinité. Voici donc une liste complète des actes miraculeux de Jésus-Christ, selon les Évangiles canoniques.

Transformer l’eau en vin

Jésus au mariage de Cana

Un des miracles les plus connus de Jésus, souvent cité même par ceux qui ne sont pas chrétiens, est également, selon l’Évangile de Jean, son tout premier miracle : la transformation de l’eau en vin lors d’un mariage à Cana. Bien que très célèbre, ce miracle n’est consigné que dans l’Évangile de Jean, qui se concentre précisément sur les miracles de Jésus pour illustrer son pouvoir sur la vie et la mort, à l’image d’une démonstration géométrique prouvant la faisabilité et l’inévitabilité de la résurrection du Christ.

L’histoire de l’eau transformée en vin se déroule dans Jean 2:1-11, lorsque le mariage auquel Jésus et ses disciples sont invités manque de vin. La mère de Jésus, Marie, présente à la cérémonie, l’exhorte à intervenir, et Jésus, qui n’avait pas encore révélé sa nature divine, finit par céder à contrecœur. Six grandes jarres d’eau destinées aux purifications sont alors remplies de vin, un vin jugé supérieur à celui servi auparavant par le marié, ce qui laisse les disciples de Jésus émerveillés.

Selon Got Questions, si Jésus a accompli ce miracle pour faire plaisir à sa mère et éviter un embarras à l’hôte, son objectif principal était d’afficher sa gloire afin que ses disciples croient en son pouvoir sur la nature. Les miracles de Jésus n’étaient jamais des tours de magie destinés à attirer l’attention ; ils révèlent toujours une vérité plus profonde.

La guérison des malades

Jésus guérissant un lépreux

La majorité des miracles de Jésus sont liés à la guérison des malades, témoignant de sa grande compassion pour la souffrance humaine. Ces miracles sont parfois perçus comme des signes de son autorité divine, mais souvent, ils répondent à un besoin humain fondamental. De nombreux miracles de guérison de Jésus s’inscrivent dans cette dernière catégorie.

Il arrive que Jésus guérisse des personnes spécifiques à la demande de proches, comme lorsqu’il restaure le fils mourant d’un fonctionnaire à Capernaüm ou encore lorsqu’il guérit la belle-mère de Simon Pierre, qui était clouée au lit par la fièvre. Les Évangiles révèlent également des scènes où il guérit d’innombrables personnes qui venaient le voir dans l’espoir de soulager leurs souffrances. Tel est le pouvoir de guérison de Jésus qui entraîne même la guérison de ceux qui touchent le bord de son manteau.

Une des maladies fréquentes rencontrées par Jésus est la lèpre, une affection cutanée qui a souvent conduit à l’exclusion sociale. Sa volonté d’intervenir pour les lépreux illustre la profondeur de sa compassion. Jésus guérit un homme qui s’approche de lui, et il accomplit même la guérison de dix lépreux en une seule fois.

Chasser les esprits malins

Jésus chasse les esprits maléfiques dans un troupeau de porcs

Étroitement lié aux actes de guérison, l’exorcisme des esprits malins par Jésus révèle sa puissance et son autorité sur le monde surnaturel. Les démons étaient souvent perçus comme la cause de maladies physiques et mentales; leur expulsion apportait un grand soulagement aux personnes possédées. Jésus montre sa domination sur ces forces obscures, comme le souligne un épisode à Capernaüm où Jésus fait admettre à un homme possédé par un démon son contrôle sur lui.

D’autres récits illustrent que Jésus n’est pas venu uniquement pour le peuple juif. Il libère également la fille d’une femme païenne d’un démon, prouvant ainsi son message universel. De plus, il inculque à ses disciples que même une petite foi peut leur accorder le pouvoir sur les démons, illustrant l’importance de la foi face à ces entités.

L’un des récits les plus frappants est celui où Jésus rencontre un homme possédé par tant de démons qu’ils se désignent sous le nom de Légion. Ils implorent Jésus de les envoyer dans un troupeau de porcs plutôt que d’être tourmentés par sa puissance divine. Lorsqu’il accède à leur demande, ce troupeau, désormais possédé, se précipite dans la mer et se noie. Cette scène grandiose témoigne non seulement de la capacité de Jésus à maîtriser les forces du mal, mais aussi de l’impact direct de ses miracles sur la vie humaine.

Faire marcher les paralytiques

Jésus guérissant un paralylique descendu par le plafond

Les Évangiles rapportent que Jésus a guéri un grand nombre de maladies au cours de son ministère, parmi lesquelles deux des miracles les plus fréquemment mentionnés sont de permettre aux paralytiques de marcher et aux aveugles de voir. En ce qui concerne le premier, plusieurs occurrences de ce miracle particulier sont enregistrées dans les Évangiles. La première guérison mentionnée a lieu lorsque un centurion romain s’approche de Jésus pour lui demander de guérir son serviteur, qui est alité, paralysé chez lui (Matthieu 8:5-13, Luc 7:1-10). Cette rencontre est notable car elle montre que Jésus est venu guérir les Gentils aussi bien que les Juifs, tout en démontrant son pouvoir de guérir à distance.

Peut-être l’exemple le plus célèbre de Jésus faisant marcher un paralytique est l’histoire des quatre amis qui transportent leur ami tétraplégique sur une mat et le descendent à travers un trou dans le plafond dans l’espoir que Jésus puisse le guérir (Matthieu 9:1-8, Marc 2:1-12, Luc 5:17-26). Cette histoire est la source de la célèbre phrase de Jésus : « Prends ton lit et marche. » D’autres cas de guérison de la paralysie incluent la guérison d’un homme près de la piscine miraculeuse de Bethesda (Jean 5:1-15) et la guérison d’une femme dans une synagogue qui était incapable de marcher depuis 18 ans (Luc 13:10-17).

Rendre la vue aux aveugles

Jésus guérit Bartimée

Rendre la vue aux aveugles est un miracle évocateur que Jésus a répété à plusieurs reprises. Les Évangiles exploitent ces guérisons pour illustrer l’importance de la foi — une confiance spirituelle en ce qui est invisible — par opposition à la simple vue physique. L’histoire la plus souvent relatée est celle de Bartimée, un aveugle mendiant dont la guérison résulte de la puissance de sa foi lorsqu’il s’approche de Jésus pour demander de l’aide (Matthieu 20:29-34, Marc 10:46-53, Luc 18:35-43).

Un incident similaire se produit dans Matthieu 9:27-31, où Jésus guérit non pas un, mais deux aveugles qui lui demandent miséricorde.

Dans ces rencontres, Jésus restaure la vue des aveugles simplement grâce à leur foi et à ses paroles. Cependant, le récit de Marc 8:22-26 montre une méthode différente : un homme aveugle est amené à Jésus à Bethsaïda, et Jésus lui crache dans les yeux. Une technique semblable est utilisée dans Jean 9:1-12, où Jésus passe près d’un homme aveugle de naissance. Au lieu de cracher directement dans ses yeux, Jésus crache dans la terre pour en faire de la boue qu’il applique sur les yeux de l’homme. Une fois que celui-ci lave la boue, il peut voir pour la première fois.

Autres actes de guérison

Jésus guérit la femme hémorragique

De nombreux miracles de guérison réalisés par Jésus se classent dans de larges catégories telles que la cécité, la paralysie ou la lèpre. Cependant, plusieurs de ces miracles sont uniques dans le cadre de son ministère. Les actes de guérison de Jésus ne se limitent pas simplement à soulager la douleur physique des personnes qu’il aide ; ils témoignent également de son autorité sur la vie et le monde naturel, affirmant son rôle en tant que Fils de Dieu.

Un exemple notable est la guérison d’un homme ayant la main desséchée, réalisée un jour de sabbat. Ce geste controversé parmi les Juifs permet à Jésus de se présenter comme le Seigneur du sabbat, tout en soulignant que la miséricorde et la compassion priment sur la lettre de la loi.

Un autre miracle marquant concerne une femme souffrant de saignements menstruels continus depuis douze ans, ce qui la rendait impure selon les normes de l’époque. Elle est guérie en touchant simplement le bord du vêtement de Jésus. Ce type de guérison montre son pouvoir réparateur au-delà des conventions sociales.

Jésus guérit également un homme muet, ainsi qu’un homme sourd et muet, démontrant ainsi sa compassion pour ceux qui souffrent. De même, il intervient pour soulager un homme souffrant de gonflement. Dans un acte de véritable clémence, il restaure même l’oreille d’un des hommes venus pour l’arrêter, après qu’un de ses disciples l’eût coupée. Ces miracles illustrent non seulement la puissance de Jésus, mais aussi son engagement envers l’humanité.

Ressusciter les morts

Ressuscitation de Lazare

Les miracles de guérison réalisés par Jésus illustrent sa puissance en tant que Fils de Dieu, mais aucun miracle ne met davantage en lumière son autorité sur la vie et la mort que la résurrection des morts. Bien que Jésus réalise ce miracle exceptionnel à quelques reprises, son effet préfigure sa propre résurrection après la crucifixion. Dans l’Évangile de Luc (7:11-17), nous découvrons le récit où Jésus ressuscite le fils d’une veuve alors que son cercueil est porté hors de sa maison. Comme l’explique la BBC, cet acte démontre non seulement le triomphe de Jésus sur la tombe, mais établit également son statut auprès des habitants de la Judée en tant que figure miraculeuse, un écho aux miracles accomplis par le prophète Élie plusieurs siècles auparavant.

Jésus rappelle également ce pouvoir en ressuscitant la fille de Jaïrus, un des responsables du temple, en affirmant : « Elle n’est pas morte, mais elle dort seulement », soulignant ainsi que la mort est une condition temporaire face à la résurrection à venir (Matthieu 9:18-26, Marc 5:21-43, Luc 8:40-56).

Outre sa propre résurrection, l’un des événements les plus célèbres est celui de son ami Lazare, frère de Marie et Marthe de Béthanie. L’histoire rapportée dans Jean 11:1-45 comporte deux versets remarquables : d’abord, le plus court verset de la Bible – « Jésus pleura » – reflétant la douleur de Jésus face à la perte de son ami ; ensuite, la déclaration de Jésus à Marthe, affirmant : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. »

Deux captures miraculeuses de poissons

captures miraculeuses de poissons

Les miracles de Jésus ne se limitent pas aux guérisons humaines ; ils illustrent également sa maîtrise sur le monde naturel. Selon les Écritures, une grande partie de son ministère s’est déroulée autour des eaux du lac de Galilée, un lieu familier pour de nombreux disciples pêcheurs. Par exemple, dans l’Évangile selon Luc (5:1-11), Jésus recrute ses premiers disciples, Simon Pierre, Jacques et Jean, en leur demandant de jeter leurs filets après une longue journée de pêche infructueuse. Bien qu’intrigués, ils obéissent et ramènent une telle quantité de poissons que deux barques peinent à les contenir sans chavirer. C’est à ce moment-là que Jésus les invite à le suivre pour devenir « pêcheurs d’hommes ».

Une seconde capture miraculeuse est relatée dans l’Évangile de Jean (21:4-11), mais celle-ci se déroule à la fin du ministère de Jésus, après sa résurrection. Jésus aide encore une fois ses disciples à capturer un énorme banc de poissons, prouvant ainsi son identité divine après être revenu d’entre les morts. Dans ces récits, nous percevons non seulement la puissance de Jésus, mais aussi son influence sur ses disciples et leur mission future.

Trouver de l’argent dans la bouche d’un poisson

Pierre trouve une pièce dans la bouche d'un poisson

Alors que de nombreux miracles de Jésus sont extrêmement connus et font même l’objet d’expressions proverbiales, celui-ci est peut-être moins familier. Dans Matthieu 17:24-27, Jésus et ses disciples se trouvent à Capernaüm lorsque des collecteurs d’impôts s’approchent d’eux pour demander la taxe de la double drachme. Cette taxe est un impôt que les hommes juifs paient pour soutenir le temple, équivalente au coût de deux moutons. Jésus explique à Simon Pierre qu’en tant que fils de Dieu, ils devraient être exemptés de cette taxe; toutefois, pour éviter tout désagrément, ils vont s’acquitter de celle-ci. Il envoie Simon à la mer pour attraper un poisson, en lui disant qu’une pièce suffisamment grosse pour payer la taxe se trouvera dans sa bouche, ce qui se réalise effectivement.

Selon Forerunner Bible Study, cet incident illustre l’instruction de Jésus de ne pas offenser inutilement autrui, même s’il devrait être exempt de cette taxe. De plus, aider Simon à attraper le bon poisson démontre son pouvoir sur toute la création.

Calme de la tempête

Calme de la tempête sur la mer de Galilée

Une autre démonstration du pouvoir de Jésus sur les éléments se manifeste lorsque lui et ses disciples naviguent sur un bateau frappé par une violente tempête. Alors que les disciples, terrifiés, craignent que le navire ne sombre, Jésus dort paisiblement sous le pont. À leur réveil, ils l’ausculpent, angoissés pour leur vie. Jésus, leur disant de ne pas s’inquiéter, calme la tempête. Cet acte étonne ses disciples qui s’exclament : « Même les vents et la mer lui obéissent ! » (Matthieu 8:23-27, Marc 4:35-41, Luc 8:22-25).

Cette merveille particulière porte une signification profonde pour les disciples juifs de Jésus. Les Écritures hébraïques, notamment les Psaumes, établissent clairement que seul un être a le pouvoir de contrôler le vent et les vagues : Dieu lui-même. Pour les disciples, l’apaisement de la tempête par Jésus représente une affirmation puissante et une confirmation tangible de sa divinité.

Le repas des multitudes

Jésus nourrissant la multitude

Parmi les miracles de Jésus consignés dans les Évangiles, un est unique en ce qu’il apparaît dans les quatre récits : il s’agit du célèbre repas des 5 000. Ce miracle est décrit dans Matthieu 14:13-21, Marc 6:30-44, Luc 9:10-17 et Jean 6:1-15. Les récits rapportent que Jésus a rassemblé une foule immense, captivée par les miracles qu’il réalisait. Lorsqu’il demande à ses disciples de nourrir cette assemblée, ceux-ci répondent qu’ils n’ont que cinq pains et deux poissons. Jésus bénit cette maigre offrande, et en la distribuant, il parvient à rassasier 5 000 hommes, sans compter les femmes et les enfants, avec en prime douze paniers de restes.

Selon l’interprétation de certains experts, comme l’explique Got Questions, la réaction de Jésus le lendemain, lorsque les gens lui demandent de les nourrir à nouveau, montre que ses miracles visent principalement à combler les besoins spirituels des individus plutôt que leurs besoins matériels, ayant ainsi négligé la véritable signification du miracle face à l’appât d’un repas gratuit.

Bien que beaucoup connaissent l’histoire du repas des 5 000, il est moins courant de savoir que Jésus a opéré un miracle similaire avec une foule de 4 000 personnes, utilisant une quantité légèrement différente de pains et de poissons. Cette seconde distribution est relatée dans Matthieu 15:32-39 et Marc 8:1-13.

Marcher sur l’eau

Jésus et Pierre marchant sur l'eau

Dans trois des quatre Évangiles, l’histoire de la multiplication des pains et des poissons est suivie immédiatement par l’un des miracles les plus célèbres de Jésus, celui qui incarne l’idée de la bonté surnaturelle : marcher sur l’eau. Dans Matthieu 14:22-33, Marc 6:45-52, et Jean 6:16-21, les disciples montent à bord d’une barque après le miracle des pains, tandis que Jésus reste sur la rive pour prier. Rapidement, les disciples aperçoivent une silhouette s’approchant de leur bateau en marchant sur les vagues. Ils craignent qu’un fantôme ne s’approche, mais Jésus les appelle à ne pas avoir peur. Dans le récit de Matthieu, Pierre décide de marcher à son tour sur l’eau pour rejoindre son maître. D’abord, sa foi lui permet de fouler la mer, mais il devient rapidement submergé par la crainte des vagues et commence à couler, jusqu’à être sauvé par Jésus, qui le réprimande pour son manque de foi.

Pourquoi Luc omet-il l’histoire de Jésus marchant sur l’eau ? Selon Christianity.com, cela pourrait être dû au fait que Luc n’était pas un disciple du Christ durant son ministère terrestre et n’était pas témoin de cet événement. Cependant, cela repose sur la vision traditionnelle selon laquelle les auteurs des Évangiles étaient en réalité les apôtres (ou, dans le cas de Marc, un scribe). Comme l’explique Cambridge University Press, l’explication la plus académique suggère que l’auteur de Luc a simplement omis ce récit des sources qu’il a utilisées pour compiler son Évangile.

Maudire un figuier

Jésus maudissant le figuier

Un des derniers miracles de Jésus est également l’un des plus étranges. Les récits de Matthieu 21:18-22 et Marc 11:12-14 montrent un Jésus affamé s’approchant d’un figuier à la recherche de fruits. Lorsqu’il ne trouve que des feuilles, il maudit l’arbre, disant qu’il ne portera plus jamais de fruits. Quand les disciples revoient l’arbre, celui-ci est desséché. En s’interrogeant sur la manière dont Jésus a pu maudire l’arbre, il leur explique que la puissance de la foi les habilitera à faire de même et bien plus encore.

Le sens de la malédiction du figuier a été débattu pendant des siècles. Jésus était-il simplement en colère, ou y a-t-il une signification symbolique plus grande ? Selon Dr. Ray Pritchard, auteur et pasteur, cette scène est une parabole où le figuier représente la nation d’Israël, et la frustration de Jésus vis-à-vis de l’arbre symbolise celle de Dieu concernant le manque de justice de son peuple. La juxtaposition de l’histoire du figuier avec l’assaut sauvage de Jésus contre les prêteurs au temple semble renforcer cette interprétation.

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